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Luc du Ressac à la Prose sans Odeur

Poète en bibliothérapie : « je fais de ma vie la plus grande de mes oeuvres d'art »

Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XVI - XX

Posted on June 1 2013 by Luc du Ressac in Luc du Ressac, poésie particule, poésie, Zore

Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XVI - XX

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C'

est le

périmètre de l'

autodigestion dans le

malt de la

circulation, il y

a un terrier d'

algues concassées, un peu

mal mené, par l'

activité de l'

optimiste humanitaire.

 

Que faire?------------------------------

Des ordures gauchères, ambidextres ou droitières, et un éboueur fait son travail, et s'engage sur une nouvelle voie sans trop y croire :une ampoule nue.-------------tous droits réservés 2013--?--       

Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XVI - XX

                                                  Pourquoi le

                                        hall? Je n’

                                              en sais rien!

 Saisis-je la

        poignée?

Sans réponse, j’

ouvre l'

anti-

chambre de

cet univers sordide et à

pied d'

oeuvre devant la rampe de mon

regard, il y a le code : la sémantique

des sémantiques. Comment vous dire d'

une manière vibrante? J'ai le visage plongé

dans la littérature du soupirail de mon âme se

fendant divinement sur la mince cloison du nausé-

a-

bond... 

Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XVI - XX

La

phrase

est

un

couloir

ventriloque

qui

me

guide

jusqu'

à

la

détermination

du

point

entre

le

début

et

la

conclusion

de l'

épitaphe.

C'est un

espace

qui grouille de

jérémiades avec les

guillemets. C'

est la coutume

du sujet, du

verbe et du

complément qui s'

épargne de la

complexité dans le

sevrage des détritus de la

consommation humaine des particules.

Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XVI - XX

Hideuse

est ma blessure externe. Tiédasse. Est, le café chaud, quand il surgit d'une explosion de sucre dans mes entrailles cervicales. D'un seul coup d'oeil, les gyrophares que j'entends forment des soudeurs. C'est la silhouette de la démesure sur le palier de ce caveau qui s'imbibe d'eau et d'huile biologique durant qu'une multitude de flashs me force à me recroqueviller comme une étoile de mer déchirée par l'errance des marais immondes.Hideuse est ma blessure externe. Tiédasse. Est, le café chaud, quand il surgit d'une explosion de sucre dans mes entrailles cervicales. D'un seul coup d'oeil, les gyrophares que j'entends forment des soudeurs. C'est la silhouette de la démesure sur le palier de ce caveau qui s'imbibe d'eau et d'huile biologique durant qu'une multitude de flashs me force à me recroqueviller comme une étoile de mer déchirée par l'errance des marais immondes. 

 

AUTODIGESTION -->

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