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C'
est le
périmètre de l'
autodigestion dans le
malt de la
circulation, il y
a un terrier d'
algues concassées, un peu
mal mené, par l'
activité de l'
optimiste humanitaire.
Que faire?------------------------------
Des ordures gauchères, ambidextres ou droitières, et un éboueur fait son travail, et s'engage sur une nouvelle voie sans trop y croire :une ampoule nue.-------------tous droits réservés 2013--?--
Pourquoi le
hall? Je n’
en sais rien!
Saisis-je la
poignée?
Sans réponse, j’
ouvre l'
anti-
chambre de
cet univers sordide et à
pied d'
oeuvre devant la rampe de mon
regard, il y a le code : la sémantique
des sémantiques. Comment vous dire d'
une manière vibrante? J'ai le visage plongé
dans la littérature du soupirail de mon âme se
fendant divinement sur la mince cloison du nausé-
a-
bond...
La
phrase
est
un
couloir
ventriloque
qui
me
guide
jusqu'
à
la
détermination
du
point
entre
le
début
et
la
conclusion
de l'
épitaphe.
C'est un
espace
qui grouille de
jérémiades avec les
guillemets. C'
est la coutume
du sujet, du
verbe et du
complément qui s'
épargne de la
complexité dans le
sevrage des détritus de la
consommation humaine des particules.
Hideuse
est ma blessure externe. Tiédasse. Est, le café chaud, quand il surgit d'une explosion de sucre dans mes entrailles cervicales. D'un seul coup d'oeil, les gyrophares que j'entends forment des soudeurs. C'est la silhouette de la démesure sur le palier de ce caveau qui s'imbibe d'eau et d'huile biologique durant qu'une multitude de flashs me force à me recroqueviller comme une étoile de mer déchirée par l'errance des marais immondes.Hideuse est ma blessure externe. Tiédasse. Est, le café chaud, quand il surgit d'une explosion de sucre dans mes entrailles cervicales. D'un seul coup d'oeil, les gyrophares que j'entends forment des soudeurs. C'est la silhouette de la démesure sur le palier de ce caveau qui s'imbibe d'eau et d'huile biologique durant qu'une multitude de flashs me force à me recroqueviller comme une étoile de mer déchirée par l'errance des marais immondes.
Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XXI - XXV
Shinboru (しんぼる⊥) instance de ce monde baise la nuages se dépouillent du magasin d' sur le bétail des urbanités de la Les roues s' effilochent dans le habillement et le carrousel à deu...
http://lucduressac.overblog.com/luc-du-ressac-po%C3%A9sie-particule-zore-xxi-xxv