Tu
es
là
dans
un
espace
qui m'
est
inconnu
ma
tendre
et belle
littérature?
Je
suis ici
dans le
grenier qui est
ma
chambre
pour 26
jours; après le c'
est le B-Side.
Pourquoi, j'
écris l'
été? Pour m'
éteindre en
hiver dans l'
hibernation de la
prose de ma
muse. Peut-être qu'
un jour seras-tu ce
que je déciderai? M'
écriras-tu avec l'
odeur de ton
âme comme un
jazzman à son
piano au milieu des
eaux internationales? Où est le
baume de ton esprit? Est-ce qu'
une nuit entre la nature et le
fantastique il y
aura la racine
latine d'
une grande
phrase entre
nous? Est la
confiance de l'
art dans ses
manières d'
élégance et
sans pudeur?
Est-ce que
je suis en
droit de
souhaiter
un lit de
bruyère
dans le
plus
grand
des
silen-
ces
du
thé-
âtre
de
tes
yeux
?
Eille
le qua-
trième
mur
de la
litté-
rature
parle-
moi!
Improbable
combat des
lettres et des
voyelles. D'
un instant à l'
autre, il y aura
une consonne,
une voix dans
mon oreille, un
souffle dans ma
tête, un regard
immobile dans la
mysticité qui
soignera le
temps dans
la méditation
dans l'entre-
deux de la
vue à la
fenêtre
où l'hori-
zon d'
abat-
jour
songe
a écrit —
jeu de
synthèse
et de
pauvreté.
Je clive
mon
idéal.
Luc du Ressac - Poésie particule - Zore XXXI - XXXV
De jolis avions volent dans le ciel, pourtant ils sont invisibles. Les oiseaux se baladent et s' amusent au risque de déplaire aux biocarbones, en cherchant l' art du risque au seuil